Petit retour après réception samedi matin du Minolta SRT101 doté de quelques objectifs (merci frangin !).
1- Le poids et surtout la densité du boitier et des objectifs (à part le 45 mm).
2- Le bruit du déclencheur. Impressionnant, la photo discrète est disons-le quasiment impossible

3- Le bouton marche-arrêt (indispensable car la cellule se déclenche dès qu'il y a de la lumière) qui est un truc en dessous à tourner par pression d'un doigt
4- la difficulté de trouver une pellicule. Samedi je vais dans ma FNAC (de banlieue certes) et demande une pellicule N&B. Accueil goguenard du vendeur, qui va sur son poste de travail et qui m'annonce triomphant "il reste 3 Ilford 400 à celle de St Lazare" (30 mn en train) ! C'est en errant dans le Carrefour voisin (3 étages) que je trouve une Kodak Gold couleur 200 ISO 24 poses vendue à un prix de racketteur (mais à date de péremption en mai 2019 c'est à dire à point !) coincée (perdue) entre des dizaines de pellicules instantanées Fuji. L'envie d'essayer l'appareil et de prendre des photos fut le plus fort. Dès demain je vais dans les boutiques indiquées plus haut et compilées par Jc.
5- réapprendre à mon oeil une focale 35, 55 ou 85 mm en plein format
6- retrouver ce goût délicieux du défilement inexorable de la pellicule et donc de l'obligation de s'appliquer, de réfléchir, de bouger, d'être attentif à la mise au point, à la mesure de la lumière (en faisant coïncider deux aiguilles)... avant de déclencher. Bien sûr on pourrait le faire en numérique, vous je ne sais pas mais moi je n'y arrive pas dans la durée. Un vrai plaisir !
7- demain je finis la pellicule parce que j'ai hâte de voir ce que ça donne (pas vraiment les photos enfin un peu, mais la MAP avec le viseur et avec l'hyperfocale, la justesse de la mesure de lumière...).
8- Ã suivre
