Merci de vos commentaires enrichissants. Il est "rigolo" de voir que nous ne plaçons pas le danger aux mêmes endroits, moments, activités.
En ce qui concerne la moto il suffit d'avoir un minimum d'agilité et de psychologie pour ne pas se mettre en danger, à condition de ne pas rouler plus fort que son ange gardien ne peut voler. Par contre en photo de la rue dans le cas qui nous occupe on peut vraiment être confronté à des situations dans lesquelles on ne maitrise rien ou qu'on ne voit pas arriver, c'est beaucoup plus dangereux.
Je pense que la plupart des gens face au danger confond 2 notions : la probabilité qu'un aléa arrive et sa gravité. Lors d'une pratique raisonnée de la moto la probabilité que le risque se réalise est peu importante mais sa gravité extrême, dans celle tout aussi raisonnée de la photo de rue c'est exactement l'inverse à mha.
D'où ma question pour aller un peu à la pêche aux infos et essayer de sentir la tendance juridique.
Car je risque quoi au pire ? De devoir retirer un bouquin de la vente et de rémunérer un mec sur une photo ? Si le bouquin a 30 photos je devrais lui verser sa part du 1/30ème de bénéfice réalisé par livre … Lorsqu'il verrait la somme il pourrait bien faire comme dieu lorsqu'il a vu ma dernière feuille de paie : il a tourné la tête pour pleurer…
Non, ce qui m'inquiète le plus c'est réellement la probabilité d'avoir des emmerdes par un gugusse qui s'imaginerait que les photographes sont restés comme dans les 70's