En fait je me rend compte qu'il y a plusieurs choses que je ne comprend pas sur la notion de plage dynamique.
On dit que c'est la difference de lumière maximal que l'appareil peut capter entre deux niveau différents d'intensité lumineuse, pour le transcrire dans une photo numérique.
Sauf que presque tout les capteurs sont capable d'encaisser une latitude de lumière extrême, de l'ombre absolu jusqu'a casiement la lumière direct du soleil. C'est seulement le reglage de l'ISO appliqué au signal du capteur, avant sa numérisation sous forme de RAW, qui implique de cliper plus ou moins les hautes lumières . ALors pourquoi on ne permet pas profiter de la dynamique réel du capteur en rapprochant l'iso de 0, en sous exposant autant qu'on le souhaite tout simplement ? Ce qui ne devrait génerer aucun bruit. Certe ça ecraserait toute les lumières, ce qui aurait pour conséquence de diminuer le nombre d'info une fois numerisé. Mais la problématique alors est celle de la qualité du codage. Donc quelle rapport avec la taille du capteur ou la sensibilité en basse lumière ?
Dans tout les cas, pour faire rentrer une image avec plus de dynamique dans un même Gamut, on doit obligatoirement tricher et tordre la courbe d'exposition pour faire rentrer plus de haute lumière sans changer le contrastes des moyennes lumières.... . Et le seul moyen de le faire sans souffir de distorsion numérique, c'est d'appliquer la courbe d'exposition qui nous plait de manière analogique avant même que le signal ne soit numérisé sous forme de RAW.
Pourquoi avoir mis ça sous forme d'options chelou "Dynamic range 100 % 200 % 400 %" ? Si l'appareil a le pouvoir de retransmettre une meilleur plage dynamique ainsi, pourquoi ne pas le faire tout le temps, et sans reglages particuliers, comme le fait un apsc sony ou un moyen format GFX ? Comment ils s'y prennent sur ces derniers pour avoir tout le temps une meilleur plage dynamique, sans avoir a adapter de réglages spécifiques aux différentes situations ?
En esperant que c'est compréhensible,
merci à vous