Je n'ai jamais compris il y a 40 ans l'intérêt de ces filtres en argentique, alors en numérique je n'en parle même pas .
JP
Tu es un peu duraille Jean-Pierre ! (et pas seulement de la feuille).
Ça fait quand même des trucs, en particulier pour lisser et donner un effet vaporeux aux plans/écoulements d’eau, et là où je vais, entre les cascades, les plages de sable noir, les fumées géothermiques, il y en a beaucoup.
Ça permet de travailler ses contrastes, même si j’ai sorti des trucs pas dégueu et obtenu des résultats analogues avec qq prises de vues HDR et les possibilités modernes de correction d’exposition haut/bas.
Ça m’éclate quand même que la photo soit un des derniers domaines dont l’intégralité de la chaine de traitement ne soit pas digitale : la qualité de la prise de vue dépend quand même avant tout de la qualité des optiques (et du photographe, OK).
Retravailler mes photos à l’ordinateur m’emmerde profondément, je passe déjà assez de temps comme ça derrière des écrans. Pour un résultat analogue, je préfère soigner ma prise de vues, passer du temps dehors, manipuler des trucs, plutôt que de passer trop de temps à retravailler mes photos, assembler mes HDR, etc.
C’est pour ça que j’aime Fuji : je pense et prépare mon développement à la prise de vue, que je peux checker sur place et refaire au besoin.
Peinture en extérieur versus travail en atelier : je suis plus Eugène Boudin que Pierre Soulage (j’apprécie les deux et lus encore Basquiat qui faisait les deux).
Ne joue pas trop les vieux sages, au temps de l’argentique, on passait notre vie à changer les filtres de couleur en fonction des effets que nous voilions obtenir en N&B (je les ai encore).
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