Mes autres cailloux ouvrent presque tous à f/2. C'est suffisant dans la majorité des cas, mais en intérieur par temps sombre, les isos monte vite. On peut alors conserver une vitesse confortable (j'évite de descendre en dessous de 1/125e avec le 50 Samyang) en ouvrant à f/1,2. Ça demande une mise au point précise, mais c'est vraiment facile avec le focus peaking, à condition d'avoir un sujet un peu coopératif ou d'apprendre à anticiper.
J'ai pris goût à la map manuelle avec mes Samyang, c'est autre chose que sur les Fuji sans échelle de profondeur de champ. Le "focus by wire" est plus long à mettre en oeuvre, j'aime pas... Pas le même type de photos peut-être, mais je n'ai pas plus de ratés avec le Samyang qu'avec mes Fuji AF.
Le noir est sobre. Mais question de goût
Côté construction, mon Tamron macro (une vieillerie mais sympa) est un tank à côté, mais rien à signaler pour le moment, même si je ne jette pas mes cailloux en vrac dans un sac. Le 50 Samyang est extra, je n'ai qu'une chose à lui reprocher, sa distance minimale de mise au point d'une cinquantaine de centimètres, limite pour la proxi.
Je m'éparpille un peu en testant des cailloux par ci par là, mais avec les Samyang 12 et 50 + les Fuji 23 et 35 f/2 et mes bonnettes pour la macro, je fais tout