Pas en état, désolé.
Les agriculteurs, de plus, pas trop ma tasse de thé. Il faut dire que j'habite une commune agricole avec cinq immenses fermes. Bon, ce ne sont pas des éleveurs, mais des cultivateurs, mais ma religion avait été faite quand j'avais vu mon village envoyer il y a quelques années des moissonneuses à Paris, pour cause de baisse des cours des céréales. Voir les plus grandes fortunes de ma région bloquer Paris en expliquant qu'ils avaient un problème de survie m'avait un peu énervé, un peu comme quand j'avais vu le frère d'une collègue parmi les meneurs des bonnets rouges en Bretagne, lequel frère est rentier depuis l'âge de 35 ans après avoir revendu jeune une startup à IBM et parcourt depuis le monde sur son yacht de 20 mètres...
En revanche, si j'ose cette expression risquée, une mousse c'est ma tasse de thé

Mais ça sera pour une autre fois, je n'en doute pas, puisque je passe sur le billard après-demain matin, ce qui devrait en principe régler définitivement mes soucis. Retour aux affaires prévu vers début octobre, j'espère. En attendant, amusez-vous bien, bande de galopins, et n'oubliez pas de faire une bise de ma part aux propriétaires fonciers bretons qui seront venus saluer leurs amis parisiens
