Eh oui ! L'Arizona ! Mais la Seine-et-Marne ?
Je plaisante, naturellement. Ceci dit, je crois que je serais beaucoup plus intimidé de me promener avec mon appareil photo dans les rues de mon village, où tout le monde se connaît, que dans l'anonymat parisien. Tout le monde me regarderait certainement avec des yeux effarés en se demandant ce que je peux bien fabriquer
Autant il est aisé d'endosser le statut d'étranger qui photographie (touriste, reporter, que sais-je), autant il est malaisé, j'imagine, de photographier l'environnement auquel on appartient...